L’Association Le Château, porteuse du projet de Tiers-Lieu de Boisseron
L’association Le Château est aujourd’hui l’organe porteur du projet de Tiers-Lieu Éco-Créatif et Culturel Polyphonique du Château de Boisseron. Constituée en association loi 1901, elle incarne la phase fondatrice du projet, assurant à la fois la représentation politique, la préfiguration opérationnelle et la coordination avec les partenaires publics et privés. Depuis plus de huit ans, ses fondateurs, engagés bénévolement, travaillent à faire du Château un commun habité, ouvert aux usages artistiques, culturels, écocitoyens et éducatifs, au service du territoire.
Une mission de portage et de préfiguration
L’association a pour mandat de structurer le projet en vue de son déploiement sur le site patrimonial du Château, dès que celui-ci sera intégré au domaine communal. Ce rôle inclut la signature du Bail emphytéotique administratif (BEA) avec la commune de Boisseron, une fois que le foncier aura été acquis par voie amiable ou par expropriation dans le cadre de la Déclaration d’utilité publique (DUP). Dans cette phase, l’association agit comme une interface essentielle entre la collectivité propriétaire, les porteurs d’activités, les habitants et les partenaires institutionnels, garantissant la continuité et la stabilité du projet.
L’association a pour mandat de structurer le projet en vue de son déploiement sur le site patrimonial du Château, dès que celui-ci sera intégré au domaine communal. Ce rôle inclut la signature du Bail emphytéotique administratif (BEA) avec la commune de Boisseron, une fois que le foncier aura été acquis par voie amiable ou par expropriation dans le cadre de la Déclaration d’utilité publique (DUP). Dans cette phase, l’association agit comme une interface essentielle entre la collectivité propriétaire, les porteurs d’activités, les habitants et les partenaires institutionnels, garantissant la continuité et la stabilité du projet.
Une gouvernance fondatrice et ancrée
Le Conseil d’administration et le bureau, où siègent les trois fondateurs, assurent la cohérence des orientations et la transmission des valeurs initiales. Cette gouvernance, ouverte à de nouveaux membres et partenaires, veille à maintenir la maîtrise d’usage : les décisions relatives à la programmation, aux aménagements et à l’organisation des espaces sont prises en intégrant la diversité des besoins locaux, et en veillant à la complémentarité entre les trois pôles d’activité – Théâtre, Médias Digitaux et Arts Numériques, et Pôle Écocitoyen.
Le Conseil d’administration et le bureau, où siègent les trois fondateurs, assurent la cohérence des orientations et la transmission des valeurs initiales. Cette gouvernance, ouverte à de nouveaux membres et partenaires, veille à maintenir la maîtrise d’usage : les décisions relatives à la programmation, aux aménagements et à l’organisation des espaces sont prises en intégrant la diversité des besoins locaux, et en veillant à la complémentarité entre les trois pôles d’activité – Théâtre, Médias Digitaux et Arts Numériques, et Pôle Écocitoyen.
Une articulation claire avec la future SCIC
Sous douze mois après la signature du BEA, la gestion du tiers-lieu sera transférée à une Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC) collégiale. Ce passage ne marquera pas la fin du rôle de l’association, mais son évolution : elle deviendra l’un des collèges fondateurs de la SCIC, aux côtés des trois fondateurs individuels et des autres parties prenantes, conservant ainsi un statut de cofondatrice et un rôle actif dans la gouvernance. L’articulation entre association et SCIC permettra de conjuguer la mémoire et la légitimité politique de la phase initiale avec un cadre coopératif robuste, capable de porter le projet sur le long terme.
Sous douze mois après la signature du BEA, la gestion du tiers-lieu sera transférée à une Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC) collégiale. Ce passage ne marquera pas la fin du rôle de l’association, mais son évolution : elle deviendra l’un des collèges fondateurs de la SCIC, aux côtés des trois fondateurs individuels et des autres parties prenantes, conservant ainsi un statut de cofondatrice et un rôle actif dans la gouvernance. L’articulation entre association et SCIC permettra de conjuguer la mémoire et la légitimité politique de la phase initiale avec un cadre coopératif robuste, capable de porter le projet sur le long terme.
Un rôle pivot et agile
Les trois pôles du tiers-lieu conservent leur autonomie de gestion et de programmation, tandis que l’association assure la coordination, la mutualisation et la défense des intérêts communs. Sa structure associative lui confère la souplesse nécessaire pour mobiliser rapidement des ressources, entretenir le lien avec les habitants et les partenaires, et organiser des actions préfiguratrices dans des espaces temporaires, en attendant la réhabilitation complète du site principal.
Les trois pôles du tiers-lieu conservent leur autonomie de gestion et de programmation, tandis que l’association assure la coordination, la mutualisation et la défense des intérêts communs. Sa structure associative lui confère la souplesse nécessaire pour mobiliser rapidement des ressources, entretenir le lien avec les habitants et les partenaires, et organiser des actions préfiguratrices dans des espaces temporaires, en attendant la réhabilitation complète du site principal.
Ainsi, l’association Le Château n’est pas seulement un outil transitoire : elle est le socle actuel et la mémoire vivante du projet. Porteuse de la vision, garante de la maîtrise d’usage et pivot entre les acteurs, elle prépare la transition vers une gouvernance coopérative ouverte tout en veillant à ce que l’esprit fondateur se transmette dans la durée.
Son rôle s’inscrit pleinement dans l’identité politique et opérationnelle du Tiers-Lieu :
Un lieu construit « par » et « pour » les usagers comme celles et ceux qui y travaillent et le font vivre.